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Notes sur le tag : Édith azam

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Dernières notes

Édith Azam, Bestiole moi Pupille : recension

Le dernier livre d’Édith Azam évoque plus ses récits en prose —  Décembre m’a cigüe , par exemple — que ses ensembles de poèmes.  On retrouve en effet un univers qui ne peut être plus fermé puisque limité à ce qu’éprouve un personnage féminin, Pupille, sensations et émotions rapportées par un narrateur. L’espace est réduit (« pas le moindre espace / pour déplacer les...

Publié le 06/10/2020 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, PoOki c'est PoOnk, dessins Sylvie Durbec

                      PoOki copain ?   Tu prends un infini silence et une infinie volupté tu prends une nuit noire qui a mangé ses étoiles tu prends un feu de bois des grains de sable un grand cri d’oiseau un homme et une femme-silex Et là là y a pas mal de chances que lePoOki tu...

Publié le 06/11/2018 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Mon frère d'encre

         Mon frère d’encre   Mes pas de pierre ont résonné toute la nuit. J’ai eu froid, j’ai eu faim, j’ai eu peur, tellement peur que pleurer, je ne savais plus. Je me suis perdue, les yeux grands ouverts, aveugle de ne pas vous voir, les bras tendus de votre absence. J’ai foulé de mes pieds la nuit nue et béante. Seule, immensément seule, je vous ai...

Publié le 17/10/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Vous l'appellerez : Rivière

Elle se demande : comment savoir quand la parole est solide ? Il se pose la même question. D’une rive à l’autre, le courant. Il et Elle savent qu’à l’intérieur une épaisseur se crée, prend toute : son envergure. Mais est-ce l’ombre des longs arbres qui les abrite.     On dit que Rivière se jette dans le fleuve. C’est une erreur....

Publié le 30/09/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Vous l'appellerez : Rivière

Elle regarde à nouveau le moulin, pense qu’il a encore vieilli, qu’elle ne lui connaît pas d’enfance, qu’il perd ses osselets en inventant des mots qui ne s’oublient jamais, qu’elle a mille ans d’absence sur tous les dictionnaires, que la vie n’est qu’un tour de passe-passe, que ses yeux s’habituent à la nuit, que dans ses mains à lui, même affaiblies, la lumière sera : toujours...

Publié le 19/12/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Mon frère d'encre

                    Mon frère d’encre   Je ne dors plus. La nuit dernière encore je vous ai cherché partout. Je vous ai frôlé plusieurs fois, vous étiez près de moi j’en suis sûre. Je voyais plus loin que le monde, tout votre souffle entrait en moi et me réchauffait la poitrine... Je...

Publié le 23/07/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Jean-Christophe Bellevaux, Bel échec, images d'Elice Meng

     L'écriture à quatre mains est possible sans une grande complicité de la part des auteurs : ils peuvent choisir de suivre une contrainte forte et c'est ce qui a été retenu pour l'écriture des vingt poèmes de Bel échec . L'un propose un texte, l'autre s'y introduit et ajoute des vers ; le premier intervient et transforme, ou non, son texte de départ, et ainsi de suite...

Publié le 30/09/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, Jean-Christophe Bellevaux, Bel échec

les mains se referment étreignent le vide voudraient le saisir l'empoigner pour de bon en briser la frontière mais... on ne le sait que trop : le vide n'épargne personne c'est à peine c'est-à-dire si la peine si le dire si les roses et les choses tout s'emmêle et se noue : les battements du cœur et les mots indigents, tout va, la pluie,...

Publié le 21/08/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, On sait l'autre : recension

     On n'interrompt pas la lecture de On sait l'autre , ce long poème récit, quand on l'a entreprise. De quoi s'agit-il ? Un narrateur dans sa maison un peu isolée rapporte, sous la forme du "on", ce qu'il fait et pense pendant à peu près vingt quatre heures ; il s'agit d'un homme, ce qui est explicite l'une des rares fois où le "on" est abandonné pour le "je" : « je...

Publié le 23/06/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Édith Azam, On sait l'autre

                            On allume la radio mais sans penser au geste et sans même écouter ce qu'elle crache, la radio. On allume l'éclairage, on réchauffe le café, on écoute le frigo qui grince, aussi bien que nos os. Derrière le rideau, la fenêtre est fermée. Derrière la fenêtre trois chevaux, dos à dos :...

Publié le 17/06/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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